J'avais enfin la permission de sortir. Nom de dieu, je m'étais quand même bien battue pour ça!
Bon, j'avais décidé d'aller dans un des bars d'une petite ruelle sombre, c'était déjà mieux que rien!
Une vieille enseigne diffusait une petite lumière, petite lumière qui n'allait pas tarder à défaillir. Je ne savais pas pourquoi, mais cette endroit me semblait pourtant accueillant et conviviale.
Sans plus d'entrain que ça, je poussa délicatement la porte qui produit un terrible crissement, j'en eu des frissons.
Tout de suite, je fus plongée, malgré moi, dans une ambiance qui appelait le charme féminin, du plus profond de nous même. Les encens embaumaient la pièce, et j'eu immédiatement une pulsion, qui me venait du plus profond du coeur, mon dieu, c'était trop bon, j'étais à un point de non retour, à un point où le plaisir pouvait aussi bien être imminent que prendre du temps à se déclarer et à se ressentir.
Quand je regarda mon entre-jambe, j'y vis un chat qui me câlinait. Rah! le vilain mattou, hors de ma vue! moi qui pensait ressentir autant de plaisir à cause des encens, je tombais de haut!.
Bon, petit tour d'horizon, aucun détails particuliers ne m'interpella. Finalement, c'était un bar normal, pas tellement convivial, et même plutôt insalubre.
Je me dirigeais vers le comptoir pour commander une bière, quand on m'interpellait.
Je me retournais, c'était une fille de cette chose qui nous servait d'hôpital. Mais impossible de savoir si c'était une psy ou une patiente... Impossible..
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